Gazette n°24

Sommaire

-Découverte

-Espace détente

-Membres, artistes en herbe
Photo de Lycan
Texte de Parfait_glacé

-Recette

-Citation

-Un peu de réflexion

-Pub









Hommage au grand Raymond

Comme vous le savez surement, Raymond Devos, celui qui jonglait avec les mots, nous a quitté le jeudi 15 juin 2006... On ne présente plus cette légende de l'humour, ce grand homme qui était passé maître dans l'art du calembourg et du jeu de mots. Qui n'a jamais entendu parlé du célèbre "train pour Caen" (pour quand?) ou bien du "je hais les haies" ?

Mais son talent ne se limitait pas à cela. Ce grand homme était également un musicien hors pair, jouant de l'accordéon, de la guitare, ainsi que de la trompette. Raymond Devos écrivait aussi. De sa plume sont nés 3 romans :

Les 40e délirants
Une chenille nommée Vanessa
Sans titre de noblesse

ainsi que 2 pièces de théâtre. Aujourd'hui, celui qui a siégé au Conseil supérieur de la langue française pendant plusieurs années n'est plus, mais il continue de vivre dans les coeurs de ceux qui l'aimaient et qui l'admiraient...

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Quelques citations de Raymond Devos :

Quand on s'est connus, ma femme et moi, on était tellement timides tous les deux qu'on n'osait pas se regarder. Maintenant, on ne peut plus se voir !

J'ai un copain, il est pilote d'essai... enfin, il ne l'est pas encore ; pour l'instant, il essaie d'être pilote !

Je n'aime pas être chez moi. A tel point que lorsque je vais chez quelqu'un et qu'il me dit : "Vous êtes ici chez vous", je rentre chez moi !

Rien, ce n'est pas rien ! La preuve, c'est que l'on peut le soustraire. Exemple : rien moins rien = moins que rien !

Je connais un critique qui est en même temps auteur... ce qui le met en tant qu'auteur dans une situation critique !

- Est-ce que les histoires que vous racontez ne vous empêchent pas de dormir ?
- Si, mais comme ce sont des histoires à dormir debout, je récupère !

Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je marche !

Si ma femme doit être veuve un jour, j'aimerais mieux que ce soit de mon vivant.









Espace détente

Ces excuses personne n'y croira mais si votre prof a de l'humour et qu'il est de bonne humeur vous pourrez rentrer en cours après un bon fou rire de toute la classe.
Vu que c’est long je le fais en deux partie ^^

Prenez un air sérieux et dites : "Mon train a déraillé"

"J'étais mort mais depuis ça va mieux."

""Mon chien courait après un chat et moi je courais après mon chien ... Ca a duré longtemps ..."

"Je triais mes cartes Pokemon."

"J'ai pas pus venir ce matin, je devais sauver le monde."

"J'ai raté l'ascenseur."

"J'ai aidé ma mère a accoucher."

"Y'avais un mouton devant ma porte, je pouvais pas sortir."

"Je pouvais pas j'avais piscine."

"Je me suis fait kidnapper. D'ailleurs faudrait payer la rançon."

"J'ai écrasé un camion en traversant."

"Je suis en retard parce que ça a sonné avant que j'arrive."

"Je regardais Babar."

"En arrivant je me suis rendu compte que ma fermeture éclair était cassée et j'ai du rentrer chez moi pour changer de pantalon."

"Je me rappelais plus où était l'école."

"J'arrivais pas à garer mon cheval."

"J'aidais un aveugle unijambiste travesti à traverser l'autoroute."

"Les escalators du métro étaient en panne, je suis resté coincé."

"Je suis venu hier mais y'avait personne."
A sortir un lundi matin.

"J'ai oublié mon bras droit et comme c'est avec celui là que j'écrit je suis rentré chez moi pour le prendre."

"Horoscope défavorable."

"Je repeignais le chien."

"J'ai crevé avec ma trottinette."









Membres, artistes en herbe

Rubrique photos par Lycan





Alors j'ai ravivé les couleurs grâce à la balance des couleurs:
- pour les tons foncés et moyens: plus de rouge, de vert et de jaune
- pour les tons clairs: plus de cyan, de vert et de bleu.
Ensuite j'ai augmenté la luminosité et très légèrement le contraste.

Petit remarque on ne dirait pas une photo... c'est un dessin?



Rubrique poèmes par Parfait_glacé


Une nuit de mai...

Mes pas raisonnaient dans la rue étroite, éclairée par quelques fenêtres allumées. J'entendais des gens parler, chanter ou crier dans les bars ou alors j'entendais une mère raconter une histoire à son enfant.(1)
Je sortis du village et m'arrêta (2) plus loin devant une rivière, que seul le reflet de la lune éclairait. Le bruissement de l'eau était la seule chose qui "animait" cette douce soirée.

De l'autre côté de la rivière, il y avait une grande forêt sombre. Malgré ses ombres aux formes étranges, presque terrifiantes, quelques chose (3)m'attirait à l'intérieur. Cette "chose" n'était autre qu'une lumière. Très faibles et un peu bleutée. Aucune lampe ou bougie n'éclairait pareillement. Il fallait que je vois d'où elle venait alors je me levai et traversai un petit pont de bois qui se trouvait non loin de moi.
Quelque chose me disait de faire demi-tour. Je n'avais pas vraiment envie d'y aller mais cette lumière était tellement belle...j'avais l'impression de voir de toutes petites étoiles...de minuscules pétales roses pâle...tout cela donnait à ce moment et à cet endroit un côté féerique.
À petits pas hésitants, j'entrai dans la forêt. Une fois à l'intérieur, une petite brise venue de nul part me poussa doucement. On aurait dit qu'elle voulait que je continue mon chemin sans faire demi-tour. Je n'avais pas l'intention de la contrarier. Peut-être qu'elle allait m'accompagner...et je me sentirais moins seule...mais que m'arrivait-il? Je parlais du vent comme d'une personne.

Je continuais mon chemin, sentant toujours ce petit vent dans mon dos.
Plus j'avançais, plus j'oubliais. Je ne savais plus d'où je venais ni où j'étais. Mais pourtant je me sentais en sécurité.
La lumière de faisait plus intense, moins bleutée et plus dorée, moins de pétales et plus d'étoiles et la brise m'avait quittée pour laisser place à une très douce et envoûtante mélodie.

J'arrivai dans une très petite clairière au milieu de laquelle se trouvait une boule de lumière dorée qui éclairait cet espace vert.
À côté, assise sur une pierre argentée, se trouvait une femme.(4) Elle avait de longs cheveux blonds à reflets dorés et portait une longue robe blanche qui laissait juste dépasser ses pieds nus. Elle tenait une harpe dorée et jouait tranquillement des notes toutes plus belles les unes que les autres.

Je ne me controllais plus Tous mes membres étaient engourdis mais j'avançais quand même. La femme leva son regard vers moi et se leva très gracieusement. Elle posa sa harpe, qui continua à jouer seule, et elle me fit signe d'approcher...

Après cela, je ne me souviens de rien...tout ce que je peux vous dire c'est que je ne suis plus...depuis cette belle nuit de mai...



:::Commentaires:::


(1)la phrase n'est pas belle, scinde la en deux distinctes ou évite les répétitions de "ou"

(2) erreur de conjugaison, je m'arretai

(3) erreur d'accord pluriel

(4) un point n'est pas nécéssaire, une virgule suffit amplement









Recette

Les Brownies

Vous n'avez jamais goûté à ces petites merveilles?
Il n'est pas trop tard pour le faire!

Pour cela il vous faudra: (pour 1 personne)

50g de beurre
1 oeuf
100g de sucre
1/2 cuillère à café de sucre vanilliné
100g de chocolat noir
100g de farine
100g de cerneaux de noix.

Alors commençons, prenez votre beurre et tournez-le en crème dans un terrine. Ajoutez les oeufs, le sucre et le sucre vanniliné et battez en mousse.
En dehors de la terrine, faites fondre votre chocolat noir puis ajoutez-le à votre mélange.
Ajoutez votre farine, remélangez le tout.
Hachez finement votre noix et ajoutez-le au reste, mélangez une dernière fois.

Ceci étant fait, étendez une couche d'environ 1cm d'épaisseur(pas besoin de mesurer au milimètre près) sur une plaque préparée (Donc une plaque beurrée).

Mettez-le au four pendant 15 à 20min à 200°c.

Dès que c'est cuit, sortez-le du four (logique) et laissez refroidir un petit moment puis coupez dedans des carrés d'environs 2cm de côtés.

Voilà! Vos brownies sont prêts à être dégustés!












Un peu de réflexion


Voici la réponse de la semaine passée:





Casse tête de la semaine: Relier ces neufs points avec 4 traits, sans lever le crayon.

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"Les humains supportent le spectacle de la violence mais sont révulsés à l'idée qu'un humain puisse être différent."
Werber








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balance le pingouin
ce n'est que du base ball,seule différence, la balle, c'est un pingouin...


Nous espérons que vous avez apprécié cette gazette. Pour ceux dont les photos ou dessins n'ont pas été publiés, ils le seront dès que possible ! Et pensez à relire les gazettes antérieures, il se peut que cela vous soit utile prochainement...